Le fermier ne demande pas la gloire. Il ne cherche ni projecteurs ni applaudissements. Ce qu’il espère, c’est simplement un peu de reconnaissance, un regard, un mot de gratitude, un signe qui lui rappelle que son engagement n’est pas invisible. Car sans lui, sans ceux qui cultivent, qui sèment et qui récoltent, nos vies perdraient une part essentielle de leur stabilité et de leur beauté. Honorer le travail du fermier, c’est honorer la vie elle-même.
Alors aujourd’hui, prenons un instant pour penser à ces hommes et ces femmes qui, chaque jour, affrontent le froid, la chaleur, la pluie et les défis du métier pour que nos tables restent pleines. Offrons-leur un geste symbolique, un cœur, un message, un simple merci pour leur rappeler qu’ils ne sont pas seuls, qu’ils ne sont pas oubliés et que leur labeur mérite d’être célébré.
Un cœur pour tous les fermiers qui nourrissent le monde en silence.
