Avec le recul, je ne regrette pas d’avoir manqué cette première fête. Ce n’était pas une question de gâteau ou de cadeaux. L’idée était de montrer à ma fille que l’amour n’est pas quelque chose pour lequel elle doit se battre.
Parfois, le plus grand acte de courage d’un parent peut prendre son enfant par la main et quitter la pièce où les lumières s’éteignent. J’ai choisi de partir. J’ai choisi la paix. Je l’ai choisi.

