Veronika Loubry insiste sur le courage et la dignité dont a fait preuve Gérard Kadoche tout au long de cette maladie. « Chaque jour, malgré la fatigue, malgré la douleur, malgré les 56 chimios il trouvait encore le moyen de sourire, de me rassurer, de me conseiller et de m’aimer comme au premier jour », affirme-t-elle aussi, avant de confier devoir désormais « apprendre à respirer sans lui », soulignant la douleur qui la submerge. « Il a rendu le monde tellement plus beau simplement en y vivant. » Elle exprime aussi la souffrance de leur famille recomposée. « Leurs » quatre enfants – Thylane et Ayrton Blondeau ainsi que Léa et Allison Nina Kadoche – désormais plongés dans la souffrance et le deuil.
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